Les poupounes de la F1, prostitution ou libération sexuelle?
Grande question existencielle. C’est le week-end de la F1. Qu’est-ce qu’on peut lire dans le Journal de Montréal? Il manque d’escortes! Soyons clair et ne jouons pas avec les mots. Quand on parle d’escorte, on parle de prostitution. Les gros bonhommes riches à craquer ne loue pas les services d’une escorte juste pour jouer au bridge ou se pavaner avec une belle fille. C’est pour leur pogner le cul, les tripoter, les voir à poil et réaliser leurs fantasmes les plus sexy et les plus osés.
D’un côté il y a un débat à savoir si on devrait légaliser la prostitution, de l’autre, on en parle comme si c’était déjà légal et autorisé. Je ne suis pas certaine de comprendre. Faudrait que vous m’expliquiez.
Est-ce que le rôle d’une femme en l’an 2000 se limite à se faire les ongles, paraître belle et charger 400$ de l’heure pour faire plaisir à ces gros môssieurs? Est-ce pour en arriver là que les féministes se sont battu pour la révolution de la femme et la révolution sexuelle?